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Multi-Artistes (Compositeur) Jean-Sébastien Bach(Compositeur), Jean-Henri d' Anglebert(Compositeur), Jean-Philippe Rameau(Compositeur), Domenico Scarlatti(Compositeur), Antonio Soler(Compositeur), Scott Ross(Interprète)
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Bach Jean-Sébastien, (230 [Compositeur]) Georg Philipp Telemann(Compositeur), Lionel Meunier(Chef d'orchestre), Viola Blache(Interprète), Zsuzsi Toth(Interprète), Alexander Chance(Interprète), William Shelton(Interprète), Raphael Höhn(Interprète), Sebastian Myrus(Interprète), Tobias Wicky(Interprète)
Vox Luminis s'associe à nouveau au Freiburger Barockorchester et ensemble ils célèbrent les musiques pour le jour de l'Ascension. Ce thème inspire les plus grands compositeurs comme Jean-Sébastien Bach, dont quatre cantates de l'Ascension ont été conservées.... La cantate BWV 128, festive et colorée, a été composée vers la fin de la deuxième année de Bach à Leipzig. L'oratorio de l'Ascension BWV 11 a, lui, été écrit pour un plus grand nombre de musiciens et se termine par un choeur final triomphal. Quant à Georg Philipp Telemann, ce sont plus de trente cantates pour la seule fête de l'Ascension qui nous sont parvenues... La cantate " Ich fahre auf zu meinem Vater " (" Je monte vers mon Père ") a été composée en 1721. L'ensemble de Lionel Meunier et le FBO restituent avec ferveur ces musiques captivantes et ces textes tournés vers l'au-delà.
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Kobekina Anastasia, (590 [Interprète]) Claudio Monteverdi(Compositeur), Shaw Caroline, (590 [Interprète]) Antonio Vivaldi(Compositeur), Eno Brian, (590 [Interprète]) Valentin Silvestrov(Compositeur), Hopkins Jon, (590 [Interprète]) John Dowland(Compositeur), Abrahams Léo, (590 [Interprète]) Jean-Sébastien Bach(Compositeur), Benjamin Britten(Compositeur), Nino Rota(Compositeur), Barbara Strozzi(Compositeur), György Kurtag(Compositeur), Gabriel Fauré(Compositeur), Antonio Sartorio(Compositeur), Vladimir Kobekin(Compositeur)
Venice, qui présente plusieurs facettes de l'art d'Anastasia Kobekina, éloigne les auditeurs des gondoliers lugubres et des masques de carnaval qui ont donné l'image musicale standard de Venise. Au lieu de cela, l'album pose la question de savoir dans quelle mesure ce que nous avons intériorisé à propos de cette ville emblématique est réellement réel. Venise n'est pas seulement une ville, mais une idée, un personnage en soi", déclare le violoncelliste, "ou peut-être présente-t-elle un personnage différent pour chacun d'entre nous. Elle pose des questions, stimule l'imagination". Son album présente une conversation personnelle et chaleureuse entre le passé et le présent, avec de la musique allant de la Renaissance de Claudio Monteverdi et John Dowland au XXIe siècle de Brian Eno et Caroline Shaw. En réfléchissant sur une ville qui existe à la fois physiquement et dans l'imagination, Venise crée et relie des mondes musicaux. Certaines des musiques les plus familières de l'album sont revigorées par le fait d'être à la fois sorties d'un contexte et placées dans un autre. Des musiques moins familières sonnent étrangement proches de nous. L'effet est onirique, enchanteur et stimulant - aussi mystérieux, intemporel et surprenant que Venise elle-même. Parmi les oeuvres incluses, on trouve celles de la compositrice vénitienne Barbara Strozzi (1619-1677), à l'esprit libre. Entre des concertos de Vivaldi et de Bach, l'oeuvre de la compositrice américaine Caroline Shaw, Limestone and Felt, nous plonge dans l'actualité, la ponctuation de l'histoire se jouant dans le son. Il y a des oeuvres de grands noms du XXe siècle dans la vie desquels Venise a joué un rôle : Gabriel Fauré, Nino Rota et Benjamin Britten.
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Bach Jean-Sébastien, (230 [Compositeur]) Borbala Dobozy(Interprète)
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Bach Jean-Sébastien, (230 [Compositeur]) Johann Pachelbel(Compositeur), Heinrich Ignaz Franz von Biber(Compositeur), Georg Kallweit(Interprète), Leo van Doeselaar(Interprète), Tabea Höfer(Interprète), Walter Rumer(Interprète)
Ce CD me semble constituer à tous égards un paradoxe en soi. Il se signale à nous, visuellement, par une apparence poussant l'esthétique jusqu'à la perfection. Son titre se présente sous les dehors d'un sceau ou d'un logo sursignifiant, puisque le signifiant y mime et y épuise en quelque sorte le signifié : la disposition typographique des caractères qui forment le mot" VIS-À-VIS" n'est autre qu'une représentation matérielle de ce vis-à-vis. Il y a là en un sens quelque chose de vertigineux, de fascinant, qui n'est pas sans faire penser aux dispositifs anciens d' un Athanase Kircher, ou, plus près de nous, aux dessins de Escher dans lesquels des plans géométriques opposés (haut/bas) se correspondent, s'équivalent et de confondent. La disposition des noms, la beauté des clichés photographiques frappent dans ce bel objet, poli et distingué sous toutes ses facettes. Le look est sublime. Et la fascination ne s'arrête pas là. Sur le plan sonore, l'auditeur est subjugué, ébahi, aux anges, c'est le cas de le dire. Rien a été laissé au hasard, tout fait sens dans le même sens. un pur miracle d'harmonie, Tout se reflète en tout, et semble offrir un emboîtement à la gloire de la symétrie, d'une géométrie sonore abolissant les différences dans une unité sublime qui et c'est la le paradoxe, repose sur des différences minutieusement réglées à tous les niveaux. La notion de vis-à-vis est, semble-t-il, au coeur même des oeuvres, à commencer par celles pour violon choisies ici, et d'abord, dans le principe de la " scordatura" dont Biber ou Pachelbel ont usé, en tant que dé-règlement produisant une "nouvelle harmonie", de nouvelles harmoniques, une nouvelle sensibilité au sonore. Cette expression "vis-à-vis" ou "face à face" (seule expression en français dans une notice par ailleurs non traduite) fonctionne ici comme un véritable concept musicologique (ambitieux et selon moi prétentieux et plus "creux" que plein) censé rendre compte d'une révolution musicale ayant touché l'Europe baroque à tous les niveaux : facture des instruments, acoustique dans tous ses aspects (jusque dans la question de la disposition des instruments dans l'espace, ce qui en termes techniques modernes se traduit ici par une prise de son prodigieusement étudiée et qui tient du miracle). Jamais je n'ai entendu Biber ainsi. C'est trop divinement beau... Le choix d'un choral de Pachelbel usant de la variation s'inscrit lui aussi dans cette optique sonore du "vis-à-vis" et du face à face. Lisibilité, équilibre, plénitude, béatitude sont ici partout. En tous sens et sollicitant tous les sens. On pense, pour trouver des analogies modernes et visuelles, à Vasarely ou Mondrian. Ça fonctionne trop bien : tout est parfaitement abstrait et comme glacé au bout du compte.De plus l'agencement des oeuvres pose problème. Mystère du rosaire, (Biber) réflexions musicales sur la mort (Pachelbel) : ce sont là des oeuvres, dans lesquelles la partie appelle et présuppose le tout, même si par ailleurs il est question de "récréation musicale" et donc de dispersion, de plaisir. Mais on n'échappe pas quelque part à l'idée qu'on écoute ici une sorte de compilation un peu trop démonstrative, des échantillons de perfection... (Bertrand Abraham)
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Feuillâtre Raphael, (590 [Interprète]) Jean-Sébastien Bach(Compositeur), Joseph Nicolas Pancrace Royer(Compositeur), Jean-Philippe Rameau(Compositeur), Antoine Forqueray(Compositeur), Jacques Duphly(Compositeur)
Ses débuts chez Deutsche Grammophon sont l'occasion de partager son amour de la musique baroque. 'Visages baroques' présente ainsi des oeuvres de J.S. Bach et de contemporains français Forqueray, Rameau, Royer et Duphly, écrites à l'origine pour clavecin et arrangés pour guitare. Ces transcriptions, dont plusieurs sont inédites, représentent de précieux ajouts au répertoire de la guitare. Feuillâtre a connu sa percée internationale en 2018 en remportant le prestigieux concours de la Guitar Foundation of America.
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Bach Jean-Sébastien, (230 [Compositeur]) Thibault Cauvin(Interprète)
" Enregistrer la musique de Bach... Peut-être la plus grande et belle aventure qui soit pour un interprète, plonger dans ses notes à la fois éternelles et intemporelles bouleverse au plus haut point. Je me souviens, préparant ce disque pendant des mois, perdre la notion du temps chaque matin alors que je m'enfonçais déboussolé dans ces partitions aux allures de cartes du monde. L'ultime voyage sans doute est cette grande Chaconne légendaire, qui rend fous les hommes qui la jouent et les rêveurs qui l'écoutent, depuis des siècles. Tel un aventurier en partance à la découverte de nouveaux territoires, lorsque l'on pose le premier accord de cet océan, on a le sentiment de quitter le quai, pour une épopée miraculeuse. Cette musique de Bach peut être savante, cérébrale, impressionnante, mais elle est aussi évidente et universelle. C'est la sagesse de l'enfance que j'ai voulu retrouver en enregistrant cet album sur ces terres de Dordogne où j'allais en vacances petit garçon ; retrouver cette joie, cette lumière, la douce sérénité. Là, dans une petite église merveilleuse au son enchanteur, j'ai enregistré les notes de Bach, jour et nuit, et je vous les livre ici, comme on transmet une carte qui mène à un trésor. " Thibault Cauvin. Largement acclamé pour sa passion et sa créativité, il n'a cessé de gagner des prix et, à 20 ans, il avait remporté 36 prix au total (dont 13 premiers prix) - plus que n'importe quel guitariste. Depuis plus de 15 ans, il effectue de nombreuses tournées et joue dans les salles les plus prestigieuses du monde. 120 pays, 1000 concerts en solo avec cette guitare unique remuant le Carnegie Hall de New York, le Tchaikovsky Hall de Moscou, le Shanghai Concert Hall, le Queen Elizabeth Hall de Londres, etc... Son jeu universel et sa personnalité gracieuse ont charmé et rassemblé tous les publics. Son nouvel album Bach est un évènement Classique immanquable !
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Goussot Paul, (590 [Interprète]) Guillaume-Gabriel Nivers(Compositeur), Henry Purcell(Compositeur), Jean-Sébastien Bach(Compositeur), Georg Philipp Telemann(Compositeur), Jean-François Dandrieu(Compositeur), Jean-Jacques Beauvarlet-Charpentier(Compositeur)
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Bach Jean-Sébastien, (230 [Compositeur]) Kenneth Weiss(Interprète)
Légendaire Kenneth Weiss dans l'Art de La Fugue ! Composée au cours des dix dernières années de sa vie, l'Art de la fugue est constituée de 14 fugues (ou contrepoints) et de 4 canons. Ce sera sa dernière et la plus accomplie de ses explorations dans le champ de la composition contrapuntique. Bien que déjà considéré par ses contemporains comme un maître de la fugue, Bach a cherché à repousser les limites de sa maîtrise en employant un sujet unique, en ré mineur pour créer son apothéose contrapuntique. Kenneth Weiss est un claveciniste, chef d'orchestre et pédagogue de renommée internationale. En tant que soliste, il est particulièrement reconnu pour ses interprétations de Bach.
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Bach Jean-Sébastien, (230 [Compositeur]) Pierre Gallon(Interprète)
Le claveciniste Pierre Gallon nous livre les Suites françaises de J. S. Bach qui constituent aujourd'hui l'une de ses oeuvres les plus documentées. Véritable outil pédagogique, ces suites ont été soigneusement recopiées par de nombreux élèves du Cantor, attestant de l'importance d'un recueil qui passe parfois pour moins ambitieux musicalement que les Suites anglaises. Il n'en est rien... On pense aujourd'hui qu'une première version fut composée aux alentours de 1720, à Köthen, pour l'éducation de l'enfant chéri Wilhelm Friedemann, " le fils que j'aime et qui me donne de la joie " (selon les propres mots de Bach, rapportés par le philologue C.F. Cramer). Mais cette première mouture est assez différente de celle qui fait actuellement référence. Il n'en reste pas moins qu'ajoutées aux six opus habituellement reconnus, ces suites à la française sont en réalité portées au nombre de huit ; il me semblait intéressant de les réunir (complétant la suite lacunaire par une gigue, fortuitement isolée, de W.F. Bach). En effet, toutes, elles témoignent de la volonté de Bach d'inculquer à ses proches élèves une certaine idée du style français : finesse du discours, élégante simplicité de la ligne mélodique, noblesse et variété apportées par les différents caractères des danses. Car il est bien question ici de danse : les huit suites présentées procèdent de la même organisation. Tout au long de son oeuvre, Bach nous a laissé plusieurs indices qui nous permettent, quelques siècles plus tard, de constituer notre propre " Pierre de Rosette ", et ainsi comprendre son univers, sa lecture du monde. J'ai le sentiment que ces Suites françaises constituent une de ces traces laissées sur la piste. Et il ne me paraît pas anodin que ce recueil ait été tellement étudié par l'entourage du maître. Aujourd'hui, à l'évidence, nous sommes nous-mêmes les enfants de Bach, les élèves d'un professeur qui n'a pas fini de nous enseigner toute sa science, tout son art. Il nous faut essayer, et essayer encore.
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