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Un vendeur de journaux sauve un homme de la noyade, mais par sa faute se retrouve impliqué dans une affaire de meurtre... Un rôle en or pour Lino Ventura, des dialogues signés Michel Audiard...

Jojo, un adolescent, vit tout seul dans une mansarde, à Pigalle. Il tombe amoureux d'une danseuse dont l'amant de coeur est un boxeur... Drame de l'enfance et peinture d'un quartier populaire de Paris...

Quinze ans après la fin de la guerre, Marie-Octobre réunit les anciens membres de son réseau de résistance afin de découvrir un traître... Tourné en vingt-trois jours, un grand succès populaire...

Des forains s'installent dans un calme village. Parmi les attractions se trouve un cinéma ambulant où le facteur découvre un film documentaire sur ses collègues américains. Il décide alors de se lancer dans une tournée à "l'américaine".. Bonus : Bande annonce originale, Analyse

Le marquis de Villemaur a décidé d'inviter d'étranges individus dans sa demeure, afin de leur faire rencontrer un rescapé du IIIe Reich. Ainsi, il réunit un Italien fasciste, Heinrich, un Allemand et Dromard, un Français ex-commandant aveugle qui porte un monocle noir.

1942, au large de Bonifacio. La Wehrmacht a fait immerger de l'or et des documents classés secret défense. Les espions du monde entier convoîtent ce trésor. Les services secrets français font alors appel à leur meilleur agent, Dromart, alias "Le Monocle".

Dans un élan de folie inexpliqué, Duval, un homme sans histoire, étrangle une jeune femme. La Justice accuse un innocent de ce meurtre et le véritable assassin se retrouve juré au procès de son propre crime. Une fois le jugement rendu et l'homme acquitté, Duval va se livrer à la police afin de purger la peine qu'il mérite, mais les notables de la ville refuse de poursuivre l'un des leurs... Il va alors commettre l'irréparable pour obtenir enfin une sentence.

Pour accompagner le documentaire évènement de Bertrand Tavernier bientôt décliné en série télévisée, la collection Ecoutez le cinéma ! propose un double album exceptionnel. Le cinéaste Bertrand Tavernier partage avec enthousiasme et gourmandise sa passion pour quarante de cinéma, de Renoir à Gabin, de Prévert à Godard. Un périple au long cours, intime et universel, au gré duquel, Tavernier parle beaucoup de musique et célèbre les compositeurs pour l'image, toutes générations confondues, de Joseph Kosma à Georges Delerue. Le premier CD est consacré à la partition originale signée Bruno Coulais, dirigée par Laurent Petitgirard. Le second CD fonctionne comme une promenade sentimentale dans la mémoire musicale du cinéma, entre ouvrages symphoniques, jazz et chansons, sur des paroles souvent écrites par les cinéastes eux-mêmes. Un programme en équilibre entre standards objectifs (French-cancan, Touchez pas au grisbi, Les Portes de la nuit, Ascenseur pour l'échafaud) et des raretés (Regain, Le Salaire de la peur, Madame de..., En cas de malheur). Au détour du chemin, le programme provoque des vis-à-vis baroques : Honegger et Eddie Constantine, Miles Davis et Mouloudji, Arletty et Antoine Duhamel. En deux mots, ce Voyage est à la fois un hommage et une célébration, mieux, un hymne aux compositeurs du cinéma français. CD 1 : BO du film 'Voyage à travers le cinéma français' CD 2 : 40 ans de musique de film, de 'L'Atalante' aux 'Choses de la vie'.

Dessins de Estelle Meyrand, scénario de Rodolphe. Sélection et texte de Jean Buzelin & Marc Monneraye. Le jazz et le swing furent, pendant les années noires de la guerre et de loccupation, un incroyable champ de liberté, un vent de fraîcheur et despérance pour une jeunesse qui, malgré la situation, voulait vivre. À lintérieur du peu despace dont ils pouvaient jouir, les zazous et autres swings, en se démarquant de la grisaille ambiante, sidentifiaient par leurs tenues provocantes, se reconnaissaient dans le jazz qui, venant dAmérique, représentait lespoir, et se rassemblaient autour des vedettes françaises, chanteurs et musiciens, qui avaient épousé les formes musicales rythmées. On a souvent dit et écrit que le jazz avait été interdit par loccupant. Grossière erreur, il na jamais été aussi populaire en France que durant cette triste période ! Si les zazous perdirent leur raison dêtre avec la Libération, leur souvenir est resté dans l'Histoire et dans les mémoires, et le mot est inscrit à jamais dans le langage populaire. Dieu merci, à notre époque, on rencontre encore des zazous !